Le 2/11/2021André Balent a écrit : Bonjour, J'ai appris, il y a quelques heures, le décès d'Étienne Frénay. Il est mort à Perpignan le 20 octobre et a été incinéré. Il n'y a pas eu de faire part de décès dans la presse locale. J'ai été le premier à l'apprendre à Perpignan. Vous pouvez voir la bio que je lui ai consacré sur le Maitron en ligne. J'ai suggéré que nous lui rendions un hommage public lorsque les circonstances le permettront. Amitiés, André Balent.
Le 2/11/2021 Jean Sagnes : Bonjour, Moi aussi, j'ignorais le décès d'Etienne Frénay. A vrai dire, il y avait des années que je ne l'avais pas vu. Ce n'est que de loin en loin que son nom apparaissait comme dans le Nouveau dictionnaire de biographies roussillonnaises. C'était quelqu'un de très discret mais aussi un historien probe. Je viens de lire la biographie que vous lui avez consacrée et dont le ton est très juste. En même temps, je ne connaissais pas du tout son itinéraire notamment son passage au parti socialiste comme Cortale, Pomarède ou encore Baylard et Lucette. Naturellement, je m'associerai à tout ce qui sera organisé pour lui rendre hommage. Amitiés. Jean Sagnes
De Danièle Rutily le 1er juillet 2018
Bonjour,
J’ai lu que M. Balent avait travaillé sur l’histoire de la famille Vigo.
Mon mari est un descendant des Montels/Bouisset/Marie Julie Thérèse Vigo-Roussillon mais je n’arrive pas à retrouver l’origine de cette branche.
La première trace du père de cette dernière, Jean Pierre, est à Montpellier en 1765 dans l’acte de naissance d’un enfant qu’il a eu avec Marie Anne David. Je sais qu’il est décédé entre 1780 et 1783 mais je ne trouve pas où. Il est également le père du colonel du même nom.
Une note du grand-père de mon mari dit qu’il est né à Perpignan mais j’ai cherché sans succès.
M. Balent aurait-il, au hasard de ses travaux, rencontré cette famille?
Vous est-il possible de transférer ce mail à M. Balent au cas où il aurait l’amabilité de bien vouloir me répondre, même négativement?
Merci beaucoup. Bien cordialement.
Danièle Rutily
Réponse d'André Balent le 2 juillet 2018 :
Bonjour,
Je n'ai pas travaillé sur les Vigo du Roussillon. Tout ce que je peux vous dire c'est qu'ils sont apparentés de loin, avec ceux de Cerdagne qui ont été l'objet d'une de mes recherches. Des personnes encore vivantes portent le nom de Vigo et sont (ou étaient domiciliées à une date récente) domiciliées à Perpignan, Tresserre (Aspres), Corneilla-de-Conflent, Estagel (dont un biographié du Maitron [Maitron en ligne] militant communiste).
Bien cordialement,
André Balent
De Danièle Rutily le 3 juillet 2018 :
Bonsoir,
Je vous remercie très sincèrement d’avoir pris la peine de me répondre. Je vais continuer mes recherches mais ce n’est pas facile car je ne trouve aucun document expliquant à partir de quel moment la famille Vigo est devenue Vigo-Roussillon (ou Vigo dit Roussillon).
Peut-être aurais-je la chance de tomber sur un indice un jour. Je ne manquerai pas de vous en faire part.
Je vous souhaite une bonne soirée. Bien cordialement.
Danièle Rutily
Claude Richard le 1/09/2018
Est-ce-que AERI 34 est envoyé dans les poubelles de l'Histoire...
et qu'en est-il pour les autres départements de la R3 (sauf Gard et Lozère) ?
De Fabrice Bourrée le 7/09/2018
Bonjour à tous
Je me permets de réagir au courriel envoyé par M. Jean-Claude Richard Ralite.
Face à l'obsolescence du support CD-ROM, la direction de la Fondation de la Résistance a décidé de mettre fin à cette opération. Le DVD-ROM "La Résistance dans la Somme" sorti en mai dernier est donc le 28e et dernier opus de la collection.
Les travaux sont dorénavant basculés sur le Musée de la Résistance en ligne. Je vous informe également que nous avons créé une application mobile "Lieux de mémoire 1940-1945" et que vos contributions y seront les bienvenues. Ces contributions apparaissent également sur la page "lieux" du Musée de la Résistance en ligne. Cordialement.
---
Fabrice Bourrée
Chef du département AERI (Musée de la Résistance en ligne)
Fondation de la Résistance - Département AERI
16-18 place Dupleix
75015 Paris
Abonnez-vous à notre lettre d'information électronique :
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De Pierre Schill le 2/11/2018
Chers amis du Maitron,
Je me permets de vous signaler la parution de l’ouvrage Réveiller l’archive d’une guerre coloniale dont l’origine est la découverte d’une archive photographique perdue dans les papiers de Paul Vigné d’Octon, figure de l’anticolonialisme sous la IIIè République, qu’Edwy Plenel a mis récemment à l’honneur de son ouvrage consacré au Maitron. Si le livre est d’abord consacré à l’auteur des photos présentes dans les archives de Vigné d’Octon – l’écrivain reporter Gaston Chérau – il aborde la manière dont l’ancien député de l’Hérault s’est engagé au moment de la guerre italo-turque en Tripolitaine (1911-1912) puis en février 1914, au moment où la France cherche à affermir sa position au Maroc.
N’hésitez pas à relayer cette information auprès des collègues et amis susceptibles d’être intéressés.
Bien cordialement.
Pierre Schill
De Jean-Claude Richard le 8/11/2018
Chers amis,
l'Aveyron depuis plusieurs années maintenant publie peu à peu des "flyers"plus ou moins développés (le dernier concerne l'ORA) sur
les maquis de ce département. C'est une excellente initiative qu'on
voudrait voir ailleurs car ces textes donnent l'essentiel et, s'il y a lieu,
renvoient à des monographies ou autres ;
J'aimerais que l'on puise établir la liste des maquis de l'Hérault (-
avec biblio si elle existe -) ainsi que pour les autres département)à partir de cela on pourrait
suivre l'exemple de l'ODAC de Rodez et "profiter" des conseils de H.
Moizet (il m'a remis hier un texte sur Codiols ).
Moizet doit nous fournir la liste des docs déjà publiés à Rodez.
Merci de votre attention.
Jean-Claude RICHARD, Directeur de recherche(er) CNRS
De Jean-Claude Richard le 23/11/2018
Je viens d'acquérir un très récent livre de : Pierre Schill, Réveiller l'archive d'une guerre coloniale, Creaphis, 3ème trimestre 2018, 479 pages, 35 euros. On y apprend que 'l'auteur " au hasard d'une recherche sur les mineurs de charbon de l'Hérault à la fin du XIX siècle" ( je ne le connais pas et je ne sais avec qui il fait cela ????) a découvert des photographies. Le départ est donc un ensemble de photographies prises en Lybie par Gaston Chérau et qui se trouvait aux ADH dans le fonds de Vigné d'Octon. Le travail est une analyse du travail des photographes sur la colonisation et rend homamge à l'anticolonialisme de Vd'Octon. Comme je l'évoque souvent, cela devrait contribuer au travail sur ce sujet et il ne manque pas de documents : je pense à tous ceux, par exemple, qui existent sur la Nouvelle-Calédonie et j'imagine ce qui doit exister pour l'Algérie ..... Cordialement JCR Jean-Claude RICHARD, Directeur de recherche(er) CNRS Université d'Aix-en-Provence
Courrier du 24 avril 2017 :
Madame, Monsieur, Bonjour.
Je me permets de vous contacter pour savoir où je pourrais consulter vos bibliographies de façon libre.
Je réside à Montpellier et je fais des recherches généalogiques sur mes aïeux. Mon arrière-grand-père, Victor Compoint, fut responsable communiste à Thiais et fut interné au camp d'Aincourt le 5 octobre 1940 et libéré du camp de Rouillé le 11 septembre 1942. Je vous remercie bien pour votre attention, à bientôt.
Salutations Cordiales. Angela Pereira.
Association Passerelle France Brésil
& Solidarités Lusophones
Chef de Projet
Réponse d'Andreu Balent le 5 mai 2017 : Bonjour Madame,
Vous trouverez ci-joint une copie de la biographie de Victor Compoint dans le Maitron en ligne (accès limité). Pour avoir accès à d'autres biographies veuillez joindre de ma part Claude Pennetier, directeur du Maitron : mailto:info@maitron.org
Cordialement, André Balent
Courrier de Laurent Thiery le 3 mai 2017 : Bonjour,
Je me permets de faire appel à vous car je cherche à contacter M. Pierre Chevalier, auteur du Maitron.
En fait, nous nous sommes parlés au téléphone mercredi dernier à propos de la réalisation du Dictionnaire biographique des déportés de Dora. Nous avons eu un gros bug informatique sur le serveur du musée et tous les mails ont été effacés, si bien que j’ai perdu ses coordonnées. Pourriez-vous, si possible, lui transmettre ce message afin qu’il me recontacte ? Un grand merci d’avance. Bien cordialement, Laurent THIERY, Dr. en Histoire, Chargé du projet "Mittelbau-Dora", Historien à La Coupole, Centre d'Histoire et de Mémoire du Nord-Pas-de-Calais.
De Quentin Lohou le 17 juillet 2017
Madame, Monsieur,
Doctorant en histoire du droit du travail à l'université de Nantes, je me permets de vous contacter au sujet de mes recherches (sous la direction de Jean-Pierre Le Crom, CNRS). M'intéressant au droit des relations du travail applicable à certains agents de l'administration (les non titulaires), j'ai eu l'occasion de lire certaines publications d'Yves Saint-Jours qui, selon les informations mentionnées sur votre site internet, est membre de votre association.
J'aurais vraiment aimé pouvoir lui poser quelques questions relativesà deux de ses ouvrages (son manuel de droit des relations du travail dans le secteur public et son autobiographie).
Je vous serais extrêmement reconnaissant si vous pouviez me transmettre ses coordonnées afin que je puisse le joindre.
Sincères salutations,
Quentin Lohou
De Julien Rodriguez le 21 août 2017
Bonjour,
Je me permets de vous contacter car à la recherche de
Midi Rouge je me suis rendu à la librairie Le Grain des Mots à Montpellier qui, malgré l'indication de votre site, n'a pas connaissance d'un dépôt de votre bulletin. (et j'ai demandé à l'ensemble des libraires y travaillant).
Est-ce normal ? Je vous remercie.
Message de Marion Lannecastet du 10/07/2015 :
Bonjour, Je vous contacte aujourd'hui dans le cadre de la mission de service civique que j'effectue à la Ligue de l'enseignement des Pyrénées-Orientales.
Notre association célébrera en 2016 ses 70 ans. Aussi, nous avons mis en place une commission de réflexion sur l'histoire de notre association. Dans les premiers statuts de notre association de 1946, le nom de M. Baylard apparaît. J'ai regardé dans les biographies qui sont visibles sur votre site internet, mais n'est pas trouvé d'informations à ce sujet. Je voulais donc savoir si vous auriez des indications à me communiquer pour mes recherches.
Je vous remercie d'avance, Cordialement, Marion Lannecastet Volontaire en Service Civique
Réponse d'André Balent le 11/07/2015
Bonsoir, Je vous réponds de puis l’Estonie où je suis en voyage. De quel site Maitron me parlez-vous ? De celui de l’AMLR (Maitron Languedoc-Roussillon) ou le site général sur lequel figure une biographie détaillée de Baylard, ne faisant pas référence, et pour cause, à la Ligue de l’enseignement : nous attendons en effet votre étude historique. Sur le site » Maitron en ligne » de l’université de Paris I (accès restreint : mais vous pouvez vous réclamer de moi auprès du webmaster ainsi que je vous l’avez expliqué lors de notre entrevue en octobre dernier) figurent de nombreuses bios d’enseignants des PO des années 1930 aux années 1960 et parfois même au-delà.
Comptez-vous par ailleurs donner suite à votre projet d’article sur la FOL des PO pour notre revue, Le Midi Rouge ? Il est trop tard pour le n° 25 qui est sorti des presses il y a peu, mais pour le n° 26 (décembre, textes à remettre à la mi- novembre). Cet article publié à cette date serait une introduction bienvenue à l’anniversaire de la Ligue des PO. Parlez-en à Nicolas Marty.
Bonnes vacances. Cordialement. André Balent
Réponse de Marion Lannecastet du 11/07/2015
Bonjour, Je m'excuse pour ma réponse tardive, j'étais en formation à Avignon et n'ai pas eu le temps de vous répondre. Je vous remercie pour votre réponse, je vais donc continuer mes recherches. Pour ce qui est de l'article pour Midi Rouge je suis toujours prête à le rédiger. J'espère qu'il sera prêt pour décembre, mais il me reste quelques informations à trouver. De plus, la convention de partenariat qui devait être signée avec l'UPVD est toujours au point mort. Dans tous les cas, pouvez-vous me donner les modalités d'écriture à suivre pour la rédaction de l'article? Je vous remercie pour votre aide, Coridalement, Marion Lannecastet.
Message du 08/04/15
10:36 de Kareen BOUISSIERE BOULLE
Objet : RECHERCHES POUR UNE BIOGRAPHIE
Madame, Monsieur
Je suis enseignante et originaire de Saint-Nazaire-de-Ladarez, j'entreprends
des recherches pour écrire une biographie de Madeleine LAISSAC,
maire de la commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez de 1947 à
1971 ; Je voudrais savoir s'il existe une biographie de Madeleine
LAISSAC dans le Maitron. Et si oui, comment y avoir accès ?
Née Madeleine ROUJA le 28 juillet 1900 à Béziers,
elle était institutrice à St-Nazaire-de-Ladarez (Hérault) mais j'ignore pour l'instant si elle avait adhéré au SNI.
Par contre en 1946, elle est secrétaire du Syndicat des Exploitants
de St- Nazaire-de-Ladarez. Elle a été également
députée de l'Hérault de 1951 à 1956.
Dans l'espoir qu'il vous sera possible de répondre favorablement
à ma demande. Vous en remerciant par avance. Avec mes respectueuses
salutations. Kareen BOUISSIERE BOULLE
Courrier d'A. Balent
du 8 avril 2015 : Madame,
Veuillez trouver ci-joint la notice biographique de
la personne que vous recherchez. Elle est intégrée
dans la liste des bios du tome 11 du Maitron 1940-1968. J'ignore
si elle sera retenue pour le volume papier. En tout cas, elle figure
déjà suer le site à accès restreint
Maitron en ligne. Je vous envoie une copie extraite de ce site.
Les astérisques renvoient à d'autres notices du Maitron.
Il n'est pas exclu que la publions aussi dans les n° 25 ou 26
du Midi rouge le bulletin de l'Association Maitron Languedoc-Roussillon.
Cordialement. André Balent
Message du 08/04/15
de Kareen BOUISSIERE BOULLE
Monsieur,
Merci infiniment pour ce document. Il permet de répondre
à certaines de mes questions. Je ne manquerai pas de consulter
la revue Midi Rouge, dans laquelle certains articles; que j'ai pu
consulter sur votre site, pourront continuer à m'éclairer
dans ma démarche. Cordialement. Mme Kareen Bouissiere Boulle
Courrier de Luc Barret, ancien
président de l'UNEF, août 2013
: Monsieur Dedieu, il y a qquelques années, je crois avant
le colloque de Rennes sur le PSU, je vous ai écrit un mél
pour vous proposer les quelques archives (1968-1972) de la fédération
du PSU de l’Hérault dont je disposais. Je ne sais pas
si vous aviez reçu mon message ? en tout cas, ma proposition
tient évidemment toujours ! mais sous seule réserve
que mon agenda et mon moral me conduisent à Montpellier. Mon
meilleur souvenir à André Balent ! Félicitations
et remerciements pour vos travaux respectifs et/ou communs sur lesquels
le net vient de me faire tomber suite à la lecture du projet
de notice « Pierre Molino » que m’avait transmis
Roger Barralis et sur laquelle je n’ai malheureusement pas pu
apporter de grain à moudre. Cordialement. Luc Barret
Réponse de Maitronlr
: Bonjour, Merci
pour ces informations. Ces archives sont extrêment précieuses.
Elles complétent celles de Jackie Robert que nous avons sollicitées
pour la rédaction de la notice de "Pierre Molino"
du Maitron.
Il serait judicieux de faire un dépôt aux archives départementales
de l'Hérault où elles seraient définitivement
à l'abri. Nous l'avons fait il ya déjà dix ans
dans les Pyrénées-Orientales. Antoinette Claux (ex SF)
et moi-même avons effectué deux dépôts qui,
fusionnés, constituent désormais le fonds PSU des archives
départementales. Cordialement. André Balent
Le 17 juillet 2013 message de Paul Tirand :
En poursuivant la lecture du bulletin n°21, j'ai pris connaissance
de votre compte-rendu de l'ouvrage sur la villa Saint-Christophe à
Canet où d'ailleurs ma grand-mère paternelle possédait
une villa détruite par les Allemands en 1944. Mais ma surprise
a été grande d'apprendre que cette villa appartenait
au docteur Jacques Coffinières, de Castelnaudary. Ce personnage
était avant-guerre le représentant très actif
de l'Action Française. Violemment antisémite et anti
maçonnique, il a été un ardent pétainiste.
En août 1942, il lance un appel à la délation
des juifs et des maçons. En octobre 1943 il préside
une conférence de Vallery-Radot au cours de laquelle est réclamée
l'institution d'un brassard pour les maçons. Après la
libération, il a été jugé en chambre civique.
Coffinières était-il bien propriétaire de cette
villa en 1941 ? Amitiés. Paul Tirand.
Le 17 juillet réponse
d’Andreu Balent : Oui, il était
propriétaire et a loué le bâtiment aux Mennonites.
Savait-il ce qu'ils y faisaient ? Sans doute pas. Mais les protestants
américains (en l'occurrence les Mennonites, très ouverts
et progressistes) ne lui étaient pas antipathiques... Semble-t-il.
Amitiés. André Balent.
Le 2 août 2013 message
de Simone Escudier : Nous avons bien
reçu "Le Midi Rouge" et nous vous remercions beaucoup
pour ce magnifique article sur la Villa Saint-Christophe.
C'est un grand honneur pour nous de figurer dans votre bulletin car
cela conforte l'intérêt du travail que nous avons effectué
pour l'histoire de notre région. Le docteur Jacques Coffinières
de Castelnaudary était bien le propriétaire de la Villa
Saint Christophe, nous l'avons trouvé aux A.D.P.O. 30EDT. Son
nom apparaît également dans le journal de Lois Gunden
le 5 mars 1942 lorsqu'elle se rend à Castelnaudary. L'ironie
du sort a voulu que sa villa soit louée dans un but humanitaire
et ait servie en 1942 à abriter des enfants juifs afin de les
sauver de la déportation, lui qui était un ardent antisémite
! Cordialement,
Simonne Escudier et Mireille Chiroleu.
Message de René Merle du 14/07/2013
: Chers Amis, Merci
à André Balent pour l'envoi du Bulletin, toujours aussi
riche et fourni.
Un mot par rapport au CR de
l'historien Miquèl Ruquet. Il me semble que l'emploi du mot
"jacobin" prête ici, une fois de plus, à confusion.
On met sous cette étiquette le centralisme, la non reconnaissance
des diversités culturelles et le refus du communautarisme,
etc. Ce qui, soit dit en passant, n'a pas été l'apanage
que des "Jacobins"...
Mais il me semble que l'on
occulte ainsi la vertu première du mot, telle que Jaurès,
Gramsci, Lénine, et bien d'autres, l'ont soulignée :
à savoir la capacité politique pour un groupe (on dirait
aujourd'hui un parti) de saisir l'opportunité historique de
cristalliser les aspirations de la masse et de la diriger dans l'action.
Bref, d'être ce "Prince" collectif dont rêvait
Machiavel (qui en l'occurrence n'était pas "machiavélique").
Bref, tout attaché que
je sois à la culture occitane, je me sens pleinement "jacobin"
en ce second sens. Amicalement, René
Merle
Message de Philippe Berthollet du 25/06/13 16:31 :
Bonjour, je recherche des infos sur Gaetan Graux
dont on parle dans le maitron. je ne sais pas où acheter le
livre ou avoir une photocop de la page ???? Peut etre pourriez vous
me renseigner .... Cordialement. Philippe Berthollet
De : maitronlr, le mercredi 26 juin 2013 à
16h16 :
Bonjour, La notice de Gaêtan
Graux se trouve aussi sur "Maitron en ligne" (accessible
par : http://biosoc.univ-paris1.fr/ ) Pour y avoir accès, demander
à Claude Pennetier, directeur du Maitron. Il pourra vous donner
une autorisation. Ce miltant n'a rien à voir avec le Languedoc
et le Roussillon. Cordialement. André Balent
Message du 26/06/13. De : "Philippe Berthollet"
Merci beaucoup !!!
Courrier de Christina
Crevillén du 25 août 2012
Cher Monsieur, Chère
Madame,
Je suis à la recherche
de renseignements sur mon père. J'ai pu lire sur votre site
(merci beaucoup!) que le livre d' Yves Saint-Jours racontait l'histoire
du centre d'enfants de Prats de Mollo " Au fil des luttes sociales...".
Je voudrais savoir si ce centre
existe encore (Est-ce celui de la Bernède ?). Mon père,
à l'âge de 7 ans, enfant républicain espagnol,
y aurait séjourné du 25 février 37 au 25 mars
37 avant d'être confié à une famille narbonnaise.
Je pars à Perpignan pour quelques jours (de lundi 27 août
à samedi 1er sept.) consulter L'Indépendant
aux archives de la Ville (il y a des articles qui parlent du centre,
du personnel et de l'organisation) et aimerais aller à Prats
visiter la colonie si c'est bien celle-là et si cela est possible.
Je voudrais acheter le livre de monsieur Saint-Jours. J'espère
le trouver en ville sinon je vous le commanderai, si cela est possible.
Bien cordialement et un immense
merci.
Réponse d'Andreu
Balent : Madame, Le livre de M. Saint-Jours est en vente
à Perpignan à la librairie Torcatis, mais je doute qu'il
parle de la colonie la Bernède à Prats-de-Mollo. Sur
Prats-de-Mollo et la Retirada, vous avez le livre de R. Gual (éditions
Terra Nostra),avec de magnifiques photos d'époque et des photos
de coupures de presse dont certaines parlent de la Bernède.
Il est aussi en vente à la Librairie Torcatis. Vous avez aussi
en vente à cette librairie des exemplaires de notre revue Le
Midi Rouge. Dans le n° 18 (décembre 2011, pp. 4-5),
vous trouverez la biographie de François, Joseph Roig, alors
instituteur à Prats-de-Mollo qui a pris en charge la solidarité
avec les réfugiés. Cette notice paraitra en son temps
dans le Maitron (DBMOMS). En vous adressant au site national du Maitron,
vous pourrez aussi obtenir un, accès à cette notice
(solliciter Claude Pennetier).
Les locaux de la Bernède existent toujours à Prats-de-Mollo
(je les ai encore vus en juin). Mais je ne sais pas s'ils sont toujours
utilisés comme colonie de vacances. Cordialement. André
Balent.
Christina Crevillén
du 25 août 2012 : Cher Monsieur (à nouveau et
mille excuses),
J'ai fait des recherches mais sur "mappy" je ne parviens
pas à trouver le centre de La Bernède à Prats
de Mollo. Savez-vous s'il est accessible en transport en commun, si
je prends un bus depuis Perpignan jusqu'à Prats ? J'aurais
besoin de filmer car je tente de faire un docu sur mon père.
Ça me tient à cœur depuis longtemps et j'y travaille
régulièrement. Tout ceci est l'aboutissement de longues
recherches ! Merci infiniment. Cordialement, ChRistina.
Réponse d'Andreu
Balent : Madame, La Bernède, comme je vous le disais
est sans doute désaffectée. C'est la raison pour laquelle
on le trouve pas sur le site Mappy. Mais les locaux existent encore.
Vous pouvez aller à Prats en autobus depuis Perpignan, (bus
à 1 € grâce au conseil général). Il
se trouve dans l'agglomération à peu de distance de
l'arrêt des autobus.
Vous pouvez aussi contacter la mairie de Prat-de-Mollo. Ils se ferons
sans doute plaisir de vous répondre. Cordialement. AB
Christina Crevillén du 1er septembre 2012
: Cher monsieur, Je rentre de ma semaine à Perpignan (archives
de la Ville, médiathèque et archives départementales).
Formidable ! J'ai eu pas mal d'info et suis allée à
Prats de Mollo. J'ai visité le centre de La Bernède
grâce au gardien. J'en sais maintenant beaucoup. J'ai aussi
parlé à Ramon Gual. Je voulais acheter votre revue "le
Midi rouge" et suis passée à la librairie
Torcatis qui n'avait pas le numéro sur l’instituteur
Joseph Roig. Ca m'intéresse beaucoup pourtant. Ils ont tenté
de vous appeler pour en recevoir un ...
Serait-il possible de vous le commander directement ? Si oui, dites-moi
où j'envoie le chèque et de quel montant ? Bien
cordialement,
ChRistina CRevillén.Courrier
de Christina Crevillén du 25 août 2012
Cher Monsieur, Chère
Madame,
Je suis à la recherche
de renseignements sur mon père. J'ai pu lire sur votre site
(merci beaucoup!) que le livre d' Yves Saint-Jours racontait l'histoire
du centre d'enfants de Prats de Mollo " Au fil des luttes sociales...".
Je voudrais savoir si ce centre
existe encore (Est-ce celui de la Bernède ?). Mon père,
à l'âge de 7 ans, enfant républicain espagnol,
y aurait séjourné du 25 février 37 au 25 mars
37 avant d'être confié à une famille narbonnaise.
Je pars à Perpignan pour quelques jours (de lundi 27 août
à samedi 1er sept.) consulter L'Indépendant
aux archives de la Ville (il y a des articles qui parlent du centre,
du personnel et de l'organisation) et aimerais aller à Prats
visiter la colonie si c'est bien celle-là et si cela est possible.
Je voudrais acheter le livre de monsieur Saint-Jours. J'espère
le trouver en ville sinon je vous le commanderai, si cela est possible.
Bien cordialement et un immense
merci.
Réponse d'Andreu
Balent : Madame, Le livre de M. Saint-Jours est en vente
à Perpignan à la librairie Torcatis, mais je doute qu'il
parle de la colonie la Bernède à Prats-de-Mollo. Sur
Prats-de-Mollo et la Retirada, vous avez le livre de R. Gual (éditions
Terra Nostra),avec de magnifiques photos d'époque et des photos
de coupures de presse dont certaines parlent de la Bernède.
Il est aussi en vente à la Librairie Torcatis. Vous avez aussi
en vente à cette librairie des exemplaires de notre revue Le
Midi Rouge. Dans le n° 18 (décembre 2011, pp. 4-5),
vous trouverez la biographie de François, Joseph Roig, alors
instituteur à Prats-de-Mollo qui a pris en charge la solidarité
avec les réfugiés. Cette notice paraitra en son temps
dans le Maitron (DBMOMS). En vous adressant au site national du Maitron,
vous pourrez aussi obtenir un, accès à cette notice
(solliciter Claude Pennetier).
Les locaux de la Bernède existent toujours à Prats-de-Mollo
(je les ai encore vus en juin). Mais je ne sais pas s'ils sont toujours
utilisés comme colonie de vacances. Cordialement. André
Balent.
Christina Crevillén
du 25 août 2012 : Cher Monsieur (à nouveau et
mille excuses),
J'ai fait des recherches mais sur "mappy" je ne parviens
pas à trouver le centre de La Bernède à Prats
de Mollo. Savez-vous s'il est accessible en transport en commun, si
je prends un bus depuis Perpignan jusqu'à Prats ? J'aurais
besoin de filmer car je tente de faire un docu sur mon père.
Ça me tient à cœur depuis longtemps et j'y travaille
régulièrement. Tout ceci est l'aboutissement de longues
recherches ! Merci infiniment. Cordialement, ChRistina.
Réponse d'Andreu
Balent : Madame, La Bernède, comme je vous le disais
est sans doute désaffectée. C'est la raison pour laquelle
on le trouve pas sur le site Mappy. Mais les locaux existent encore.
Vous pouvez aller à Prats en autobus depuis Perpignan, (bus
à 1 € grâce au conseil général). Il
se trouve dans l'agglomération à peu de distance de
l'arrêt des autobus.
Vous pouvez aussi contacter la mairie de Prat-de-Mollo. Ils se ferons
sans doute plaisir de vous répondre. Cordialement. AB
Christina Crevillén du 1er septembre 2012
: Cher monsieur, Je rentre de ma semaine à Perpignan (archives
de la Ville, médiathèque et archives départementales).
Formidable ! J'ai eu pas mal d'info et suis allée à
Prats de Mollo. J'ai visité le centre de La Bernède
grâce au gardien. J'en sais maintenant beaucoup. J'ai aussi
parlé à Ramon Gual. Je voulais acheter votre revue "le
Midi rouge" et suis passée à la librairie
Torcatis qui n'avait pas le numéro sur l’instituteur
Joseph Roig. Ca m'intéresse beaucoup pourtant. Ils ont tenté
de vous appeler pour en recevoir un ...
Serait-il possible de vous le commander directement ? Si oui, dites-moi
où j'envoie le chèque et de quel montant ? Bien
cordialement,
ChRistina CRevillén.
Frédérique
Bonzom le 5 septembre 2011. Sur
Georges Delcamp. Depuis longtemps à la recherche de renseignements
et surtout de gens ayant connu mon grand'père, j'ai été
très heureuse de trouver sa bio sur votre site, cela
m'a d'autant plus touchée qu'il y est fait mention aussi de
ma grand'mère bien sûr mais aussi de ma mère,
née en 1944, Danièle, la "petite dernière",
aujourd'hui, hélàs décédée. Encore
merci pour ce grand moment de lecture.
Courrier d’Irène
Arcas le 11 juillet 2012 :
Mon fils m'a envoyé l'adresse du site avec la biographie de
mon père : Fernand Arcas. Je voulais juste te signaler deux
erreurs au moins. A la naissance de mon frère ainé en
1949, mes parents n'habitaient plus Maraussan mais Béziers.
Qu'il se soit occupe de la section de Maraussan après son emménagement
à Béziers, je ne sais pas.Ca, seuls ses amis de l'époque
doivent le savoir. La seconde chose c'est qu'il n'a pas laissé
sa carte du PC en 1968. J'ai quitté le PC l'année des
évènements en Roumanie (on a suivi les médias
sans se renseigner, pour moi c'était une goutte de trop). Il
était, que je saches, toujours au parti à ce moment
là. Il m'a parlé d'une réunion où il y
avait Guy Bousquet à l'époque où la Fête
de la Plantade existait déjà. Je ne me rappelle pas
la date où elle a démarré mais je crois que c'était
les années 80. A moins qu'il n'ait quitté puis repris
sa carte.Ca m'étonnerait, mais je ne sais pas. Je ne le lui
ai jamais demandé. Si j'en sais plus auprès de mes frères
je te le ferai savoir.
Réponse d’Hélène
Chaubin le 11/7/12 :
Je tiens les infos de Fernand Arcas lui-même. J’ai encore
toutes les notes prises au cours de nos entretiens.
Nouveau courrier d’Irène Arcas le 11/7/12
:
Pour ce qui est de l'endroit où mon père a vécu:
Il a vécu a Maraussan, ensuite à la Font neuve a Béziers
(il était déjà marié), ensuite à
la Dullague et pour finir à la Grangette (Béziers).
J’avais 6 ans quand on a traversé la route pour habiter
à la Grangette, ensuite mon père n'a plus déménagé
jusqu'à sa mort. Je sais qu'en 68, il n’était
pas d'accord avec le PCF, qu’il ne militait plus, mais je ne
pense pas qu'il a quitté sa carte à ce moment là.
J'en serai très étonné. Je vais me renseigner.
Peut-être puis je avoir le renseignement auprès d'un
ancien camarade du PC ou d'un membre actuel du PCF, ou d'un de mes
frères. Es tu sûre que ce soit 68 que tu ais dans tes
notes et pas 88 ou 86 par exemple ? Pour les autres infos effectivement,
c'est ok.
Je suis satisfaite d'avoir vu ce site, car il y a des biographies
d'amis de mon père et j'étais contente de voir que tout
le monde n'a pas oublié les anciens qui ont beaucoup fait pour
nous tous.
Je n'écrivais pas pour critiquer, juste ces deux points m'ont
interpellé. Si j'arrive à savoir la date, de toute façon
je te tiendrai au courant, y compris si 68 est la bonne. Dans ce cas
là il se serait trouvé dans des réunions du parti
en tant qu'invité.
Réponse d’Hélène le 12/7/12 :
On ne peut modifier les bios sans justificatifs. Mais sur une preuve,
c’est évidemment possible. Je me rappelle très
bien mes conversations à la Grangette avec Fernand Arcas qui
m’avait inspiré beaucoup de respect et de sympathie.
Il était heureux que sa bio soit faite pour le Maitron. Je
me rappelle aussi le jour de ses obsèques. J’y étais.
Nous étions si nombreux...